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LE PIETON DE PARIS
8 septembre 2008

HÔPITAL DE L'HÔTEL-DIEU

     Situé sur le parvis de Notre-Dame de Paris se trouve le plus vieil Hôpital de la capitale . Je me propose de vous  faire découvrir son histoire .

    L'ANCIEN HÔTEL-DIEU

    Fondé , selon la tradition , en 651 par Saint Landry 28ème  Evêque de Paris , l'Hôtel Dieu est le plus ancien et le seul hôpital de Paris jusqu'à la Renaissance , et un des premiers qui aient existé en France et vraisemblablement en Europe Occidentale . Mais il s'avère que cette tradition soit erronée .Toutefois , on trouvait en 829 , vis à vis de l'église Saint-Etienne , quelques logis pour des indigents , des infirmes , et des malades , auxquels  était annexée une chapelle dédiée à Saint-Christophe . C'était l'Hôtel-Dieu-Saint-Christophe , que devaient mentionner des lettres patentes en 1157 . Clovis II , fils de Dagobert y recevait à ses propres dépens , non seulement les malades , mais aussi les mendiants et les simples pèlerins . Cet Hôpital fut toujours protégé par la Couronne et par l'évêché ( Philippe-Auguste , Saint-Louis et Henri IV comptent parmi les royaux bienfaiteurs ) .

    L'histoire des hôpitaux Parisiens datent du Moyen-âge . La pauvreté étant très importante à l'époque , elle devient une occasion de rédemption pour beaucoup de bourgeois et de nobles . Ils y voient une façon de racheter leurs péchés en  venant en aide aux plus démunis . Les oeuvres permettent de créer " l'Hôpital de la Charité " qui lie étroitement piété et soins médicaux . L'église est alors toute puissante , tant du point de vue administratif que thérapeutique . La création de l'Hôtel-Dieu de Paris procède de cette tradition de charité qui perdurera jusqu'au XIX ème siècle .

En 1165 , l'évêque de Paris , Maurice de Sully , le fit rebâtir ; les anciens bâtiments disparurent en 1195 et les nouvelles constructions furent achevées vers 1255 . L'entrée trouvait face à l'Hôtel-Dieu actuel là où se trouve aujourd'hui le Square Charlemagne  . Maurice de Sully avait  prescrit que chacun des chanoines de Notre-Dame , administrateur depuis l'an 1006 de cet hôpital , devait à sa mort faire don de son lit à l'Hôtel-Dieu , prescription qui s'étendait à l'évêque . Plus tard Philippe-Auguste  , partant en croisade , ordonna en 1210 , d'y envoyer toute la paille qui garnissait son palais . Les grands bienfaiteurs de l'Hôtel-Dieu furent surtout Saint-Louis et sa mère Blanche de Castille .

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   Les malades de tout âge , de tout sexe , de toute religion et de toute nation étaient admis à l'Hôtel-Dieu ; sauf ceux atteints de maladies contagieuses , peste , "mal caduc " ou "haut-mal ( épilepsie ) , maux vénériens , teignes ... pour lesquels d'autres établissements existaient , notamment l'Hôpital Saint-Louis construit hors des murs de Paris . La mortalité à l'Hôtel-Dieu était très grande , environ 20% des malades , mais ne couchaient-ils pas nus , à deux , à quatre , à six voir à huit dans le même lit !!! ( en moyenne trois )  Ce qui faisait dire que dans chaque lit il y avait : le malade , le mourant et le mort ... En 1505 , la municipalité parisienne fut substituée aux chanoines de Notre-Dame dans l'administration de l'Hôtel-Dieu . A partir de 1535 , le service fut assuré par des religieux réformés de Saint-Augustin fournis par l'abbaye de Saint-Victor et par près de 120 religieuses Augustines , ayant fait en plus des trois voeux , celui de l'hospitalité .

       La communauté des Dames Augustines qui, depuis un temps immémorial, n'a pas d'autre demeure ni d'autre maison-mère que l'Hôtel-Dieu. La règle réformée d'après laquelle les Dames Augustines se gouvernent encore aujourd'hui a été fixée en 1630 par les soins de Geneviève Bouquet, dite du Saint-Nom-de-Jésus : Depuis que l'autorité civile a retiré aux Dames Augustines le service des hôpitaux de la Pitié et de la Charité, elles se sont réfugiées successivement à l'Hôtel-Dieu, où l'on a établi des dortoirs supplémentaires sous les combles. La charité privée, sollicitée par une lettre pastorale de l'archevêque de Paris en date du 2 décembre 1888, leur a ouvert, comme maison de retraite définitive, l'hôpital de Notre-Dame-de-Bon-Secours. Une des obligations de leur règle, alors que l'Hôtel-Dieu se composait de deux grands bâtiments bordant les deux rives de la Seine, était de laver elles-mêmes cinq cents draps dans le petit bras du fleuve, un jour par mois, quelle que fût la température. Les mères comme les novices devaient y participer obligatoirement. Une ancienne estampe conservée à la Bibliothèque nationale retrace avec fidélité la « lavure des cinq cents draps »  

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L'Hôtel-Dieu fut restauré en 1602-1609, quelques salles furent refaites en 1619 par Claude Vellefaux ( architecte de l'hôpital Saint-Louis )  et son élève Gamard . Il s'était augmenté de 1602 à 1606 d'une annexe la salle Saint-Charles , situé en face de lui sur l'autre rive de la Seine , qui fut relié en 1626 par le pont au Double , sur lequel on édifia une salle , la salle Saint-Cosme ( ou du Rosaire ) . En 1651 on lança un second pont , entre l'Hôtel-Dieu et cet annexe , le pont Saint-Charles , situé entre le pont au Double ( appelé ainsi parce que l'on devait pour pouvoir l'emprunter s'acquitter d'un droit de passage fixé à un double denier )  et le Petit-Pont , sur lequel on édifia un promenoir vitré pour les malades . Ce pont porta sous la révolution le nom de nom de pont de l'Humanité . Comme il génait la navigation , on le remplaça en 1854 par une passerelle qui sera démolie à son tour en 1878 . Vous pouvez le voir sur les gravures ci-dessous .

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   En 1714-1719 , la salle Saint-Charles fut prolongée vers l'ouest jusqu'à toucher le Petit-Chatelet par une nouvelle salle , la salle Saint-Antoine , oeuvre de Beausire , qui disparaîtra qu'en 1908 . Pour couvrir les frais de cette construction , le Régent avait ordonné en 1716 de majorer d'un neuvième le prix de tous les spectacles et de verser ce supplément à l'Hôtel-Dieu .

On aperçoit sur les deux dernières gravures ci-dessous  les "cagnards" ( chenils en vieux français )  . Les cagnards étaient des quais sombres et mal odorants situés au bord de la Seine sous les bâtiments de l'Hôtel-Dieu  qui servaient à la fois de débarcadère depuis la Seine, de déversoir des eaux usées et de lavoir pour le linge . Les étudiants en médecine qui venaient dérober des cadavres pour parfaire leurs études d'anatomie les utilisaient pour sortir discrètement de l'hôpital !!!

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                   Incendie de l'Hôtel-Dieu                        Les Cagnards de l'Hôtel-Dieu

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Au XVIe siècle, l’Hôtel-Dieu connaît une crise financière, puisque seulement financé par les aides, subsides ou privilèges. Celle-ci occasionne la création en 1505 d’un conseil de huit gouverneurs laïcs : les présidents du Parlement, de la Chambre des Comptes, de la Cour des Aides, et le Prévôt des Marchands. L’Etat intervient progressivement, d’abord par l’intermédiaire du Lieutenant Général de Police, membre du Bureau de l’Hôtel-Dieu de Paris en 1690, puis par l'intermédiaire Necker, qui créé au XVIIe siècle, les charges d’"Inspecteur général des hôpitaux civils et maison de forces » et celle de « Commissaire du Roi pour tout ce qui a trait aux hôpitaux ».

 

C'est à cette période que l’image du pauvre change. Il est socialement dangereux, car marginal. Pour les contrôler, les élites du XVIIe siècle brandissent des arguments moraux afin de créer des établissements leur permettant d’enfermer les pauvres. L’hôpital est alors un lieu de réclusion, permettant par la même occasion d’assainir le monde urbain. L’hôpital prend alors le nom de « Hôpital Général » ou « Hôpital d’enfermement », dont l’Hôtel-Dieu fait partie.

Parallèlement aux travaux de son époux sur la gestion des hôpitaux, Madame Necker modifie progressivement la symbolique de l’hôpital : de la charité, on passe à la bienfaisance. Le malade est mieux considéré. On voit même apparaître des maisons de convalescence. De plus, les idées prônées parle Siècle des Lumières permettent une importante réflexion sur le milieu hospitalier. Mais ce n'est qu'à la fin du XVIIIe siècle, que l’hôpital devient une « machine à guérir », où le malade y est soigné et en ressort guéri. Il faudra cependant attendre le XIXe siècle, pour que l’hôpital devienne un lieu de pratique de la médecine et de la science, mais aussi, un lieu d’enseignement et de la recherche médicale.

  En 1737 l'Hôtel-Dieu fut ravagé par un incendie , puis à nouveau en 1742 et en décembre 1172 . Ce dernier incendie fit 14 morts et 19 blessés . On envisagea de le fermer et de le reconstruire ailleurs , en particulier à l'Ile aux Cygnes , dans une construction circulaire , inspirée du Colisée de Rome , dont Poyet dressa les plans . Ce projet qui aurait ou accueillir 5000 malades fut abandonné en avril 1781 . Il sera remplacé par des améliorations qui permettront au vieil hôpital de contenir 3000 malades seuls dans un lit , placés dans des salles distinctes , suivant le genre de maladies , les hommes et les femmes se trouvant dans des bâtiments séparés .

   Finalement cet hôpital comportait à la Révolution , dans l'Ile , en allant du Petit-Pont au pont au Double : la grande salle du Légat , don en 1535 du Chancellier Antoine Duprat , légat de Clément VII et les salles Saint-Louis, de l'infirmerie Saint- Thomas , Saint-Denis et des Soldats . De l'autre côté de la Seine , les salles Saint-Charles , Saint-Jacques et Saint-Antoine reliées à la maison mère par la salle Saint-Cosme du pont au Double comme on peut le voir sur les gravures ci-dessus . Au total 1877 lits répartis en " grands " pour quatre , six ou huit malades , en " moyens " pour deux malades séparés par un bat-flanc , et en " petits " pour une seule personne . Il comportait en outre la primitive chapelle Saint-Christophe reconstruite en 1380 par le bourgeois de Paris Oudart de Maucreux . Elle sera démolie en 1802 et elle sera remplacée par la Veille église Saint-Julien-le-Pauvre , propriété de l'Hotel-Dieu depuis 1655 . Saint-Julien-le-Pauvre et  Saint Germain des Prés sont les deux édifices religieux les plus vieux de Paris ( Saint-Pierre-de- Montmartre étant à cette époque hors-Paris )

   L'Hôtel-Dieu fut appelé sous la Révolution , la Maison de l'Humanité . Reconstruit en partie en 1802 , agrandi par la démoliton de la Chapelle Saint-Christophe ; il contenait alors 2200 lits . Sous son vestibule on y déposa en 1838 le tombeau de Montyion ( Intendant d'Auvergne et grand philanthrope ) , transféré du cimetière de Vaugirard . La construction du quai Montebello , en 1840 , ayant rétréci l'annexe de l'Hôtel-Dieu rive gauche , cette amputation fut compensée par l'édification d'une autre annexe au sud de la rue de la Bûcherie et reliée à la precédente par une passerelle chevauchant cette voie .

   L'Hôtel-Dieu possédait un petit échaudoir pour l'abattage des animaux dont l'hôpital avait besoin pour la consommation des ses malades . Cette gravure de ROBERT Hubert  nous montre les ruines de l'Hôtel-Dieu après l'incendie de 1172 , on peut voir à gauche le bâtiment de l'infirmerie qui longe la Seine et au bas duquel s'ouvre l'échaudoir .

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Je serai incomplet si je ne mentionnais pas les cimetières qui recueillaient les corps de malades décédés . L'endroit normal de leurs inhumation fut pendant longtemps le cimetière des Innocents où cet hôpital possédait un terrain particulier dit " le parterre " . L'Hôtel-Dieu disposait en plus depuis 1350 du cimetière de l'hôpital de la Trinité . Quand celui ci fut appelé à être fermé , les administrateurs de l'Hôtel-Dieu achetèrent , en 1672 , dans la faubourg Saint-Marcel trois maisons avec jardins et dépendances , qu'ils remplacèrent par un vaste cimetière que l'on mit en service en 1673 . Ce fut le cimetière de Clamart ainsi nommé parce qu'il occupait les anciens jardins de l'hôtel de Clamart ( Rue du Fer-à-Moulin et des Fossés Saint-Marcel ) . Ce sera le plus vaste cimetière de la capitale . On y enterra toutes les personnes qui décédaient à l'Hôtel-Dieu et dont les familles ne pouvaient assurer les frais d'un enterrement au cimetière des Innocents ( 265 par an en 1763 ), il ne possédait aucun monument et aucun tombeau. Lorsqu'un malade décédait et qu'était venu le moment de l'inhumer , un bref service religieux avait lieu à la chapelle que l'Hôtel-Dieu possédait depuis 1655 sur la rive gauche ( notre église Saint-Julien-le-Pauvre actuelle ) . Puis le convoi se dirigeait vers le cimetière de Clamart . Les corps n'ont point de bière , ils sont cousus dans un drap) . L'hôtel-Dieu autorisa d'autres hôpitaux à utiliser son cimetière . Ainsi il accorda en 1780 à l'hôpital de Sainte-Catherine une bande de terrain . Le cimetière de Clamart sera définitivement fermé en 1793 et remplacé par le cimetière Sainte Catherine ( presque contigu au cimetière de Clamart ) qui servira jusqu'en 1824 . Le cimetière du Montparnasse qui ouvrira le 24 juillet 1824 le remplacera .    

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    LE NOUVEL HÔTEL-DIEU

  L'Hôtel-Dieu sera finalement entièrement démoli en 1878 , une fois que sera construit sur le côté nord du parvis de Notre-Dame le nouvel Hôtel-Dieu que nous connaissons aujourd'hui .

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   C'est sur les terrains septentrionaux, formant une surface plane de 22,000 mètres carrés, délimités au nord par le quai aux Fleurs, au sud par la place du Parvis, à l'ouest par la rue de la Cité (ancienne rue de la Juiverie), à l'est par la rue d'Arcole, que l'on a construit de 1868 à 1878 les vastes bâtiments du nouvel Hôtel-Dieu, faisant précisément face à l'emplacement de l'Hôtel-Dieu primitif , bien que Napoléon III eût prescrit qu'il fut achevé avant que ne le soit l'Opéra .  Déjà en 1788, le médecin Jacques Tenon propose, pour reconstruire l'Hôtel-Dieu, un modèle inspiré de l'infirmerie royale de Stonehouse à Plymouth. Ce modèle ne sera appliqué à Paris qu'autour des années 1850. 

   Situé sur le côté opposé du parvis, et construit selon des plans de M. Diet, de 1865 à 1877.Le projet de reconstruction de l'Hôtel Dieu en 1772 s'inscrit dans une réflexion menée sur l'architecture hospitalière à la fin du 18e siècle. Les enquêtes et mémoires réalisés par l'Académie des Sciences et la Société royale de Médecine ont pour objectif de proposer des solutions adaptées. En 1786 l'architecte Poyet propose pour l'Hôtel-Dieu un édifice circulaire , avec des ailes radiantes reliées par deux bâtiments annulaires ( projet non réalisé ) . Ces préconisations , à tendance hygiéniste ne seront concrétisées que tardivement , avec la contruction de l'hôpital Lariboisière en 1854 .

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                                         Emplacement du Nouvel Hôtel-Dieu

 

  ARCHITECTURE DE L'HÔPITAL ACTUEL

L'ensemble hospitalier, ceint d'un mur, est composé de 10 ailes parallèles reliées entre elles par des galeries à étages et entourant une cour rectangulaire. Cette galerie de liaison est vitrée en rez-de-chausssée et ouverte en portique au 1er étage. Au fond de la cour, dans l'axe de l'entrée principale, se trouve la chapelle. Entre les ailes, sont ménagées des cours latérales destinées aux malades. La grande cour centrale est dénivelée, formée de 2 niveaux différents séparés par une passerelle à portique et un escalier. A l'extérieur, les quatre ailes situées aux angles du site ont 2 niveaux d'élévation, tandis que les 6 autres ailes en ont un de plus. L'ensemble des façades est traité en pierre de taille, dans un style néoclassique.Des bâtiments techniques ont été ajoutés dans l'enceinte du site, notamment dans les cours latérales (bloc opératoire Arcole en 1969, centre de diagnostic en 1952) et sous la cour d'honneur. Comme à l'époque moyenne- âgeuse le nom des salles portent encore aujourhui celui de Saints et de Saintes .

L’hôpital de l’Hôtel-Dieu assure 120 000 urgences, 15 000 admissions et 350 000 consultations par an. Il héberge le seul site d’urgences ophtalmologiques de nuit de l’APHP, a développé des pôles d’excellence de réputation internationale notamment en diabetologie et en ophtalmologie . Il accueille les urgences médico-judiciaires , étant situé à sa proximité avec  le Palais de Justice . La  Salle Cusco , gardée par des policiers , est réservée aux prevenus dont l'état de santé nécessite une hospitalisation  . ( Gilbert Ballet (1853-1916), ancien chef de clinique de Charcot, fut médecin des Hôpitaux à Saint-Antoine et à l'Hôtel Dieu (où il créa ce qui est devenu la salle Cusco) . Il assure ses missions de proximité au service des habitants des neuf premiers arrondissements de Paris et, situé dans l’une des plus importantes zones de commerce de Paris et à un carrefour de transports en commun, draine une population très nombreuse. Menacé plusieurs fois de fermeture il reste le témoin de l'évolution des Hôpitaux parisiens du Moyen-âge à nos jours . Ne manquez pas de le visiter et d'admirer autour de son péristyle les gravures représentant l'histoire du plus vieil hôpital de Paris .

   Bibliographie : Hillairet Jacques 


 

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Commentaires
R
bonjour en combien d années l hotel dieu a été construit?
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J
bonjour, j'étais curieux de connaitre l'histoire de ce vieil hopital et je fus comblé. Merci et bravo pour votre travai.<br /> <br /> jmc. suissei
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C
Cher Jacques, vous nous offrez un remarquable travail de recherches, habité par une passion sans faille et une volonté de respect du lecteur qui ne cesse de vous honorer. J'ai appris beaucoup de choses sur ce fascinant Hôtel-Dieu et ses évolutions à travers les âges et je vous en remercie. Félicitations!
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N
Coucou,<br /> <br /> je suis moi meme parisienne et pourtant certains je ne connais pas certains des endroits que tu decris comme quoi..on en apprend tous les jours. En tout cas, merci beaucoup, tout est tres bien décris et le prochain week end j'essaierai d'y fare un saut
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